30 juin 2011

Profession : Régulateur, c'est jubilatoire + ludique + truculent

JUBILATOIRE
Qui n'a pas rêvé de “défourailler à tout va”, de jouer les shérifs, de se sortir des pires pétrins tel le héros de BD de son enfance ?
Qui n'a pas envie, après onze mois de boulot, de se changer d'air, de se défouler sans retenue… dans un livre ? (C'est sans danger, ça ne laisse pas de traces, mais quelle jubilation !)
LUDIQUE
Des romans construits comme des matchs de foot, en deux mi-temps, avec coup de théâtre durant “l'intermède intermédiaire”…
Un tome 3, par exemple, dont chaque chapitre est ponctué en conclusion par un des animaux fantaisistes (et fantastiques) du “bestiaire” d'un auteur pour le moins imaginatif (et inimaginable).
TRUCULENT
Ah çà, il faut prendre garde ! Rabelais, San-Antonio, Audiard, Tarantino, pour ne citer qu'eux, figurent parmi les influences de l'auteur.
Gaffe, amis lecteurs, vous n'êtes pas au bout de vos surprises.

Alors dégustez un par un ces cocktails détonants (et souvent délibérément déconnants), de la série Profession : Régulateur (éditions AO) sur la plage, à la campagne, en montagne ou à la ville, prévoyez des glaçons et un large chapeau pour vous protéger de la chaleur qui se dégage. Et conconctez-vous un cocktail à boire véridique, le Nirvana Ambré dont la recette figure dans le tome 4 (offert gratuitement aux acheteurs des 3 premiers volumes, une affaire qui ne durera pas : jusqu'à épuisement du stock seulement !)


De gauche à droite : l'auteur, deux Nirvana Ambré et l'éditeur.

NdE (Note de l'éditeur) : cela n'engage que moi, mais, sachez-le tout de même. Après une lecture du manuscrit, quatre relectures des épreuves, voici que je viens de relire le vrai livre (De la viande collée aux murs) pour la troisième fois. Et je ris autant que la première fois – sans blague, ce n'est pas de la pub, mais “du vécu” !
Signé : JLT