14 juin 2015

Equ'Ain des polars et… des chevaux

Dans le cadre de la “tournée Dora-Suarez-leblog” organisée par Ludovic Francioli, les éditions AO ont participé à un mini-salon du livre proposé dans le cadre du concours hippique AMA-PRO-SHF  à Equ'Ain (Miribel).


D'autres montures, plus métalliques et motorisées, fréquentaient également le centre équestre :


Confortablement installés sous une tente-chapiteau, quatre auteurs – Julie C. Combe, Jacques Morize, Gérard Coquet et Gilles Caillot – et un éditeur (le signataire de ces lignes) présentaient leurs publications :


Outre les passages d'équidés, moult tangages allaient émailler ce salon inédit :


En particulier lorsque Gérard Coquet s'engageait dans une présentation pour le moins imagée de ses romans – qui semblait laisser sa voisine dubitative !


Ce qui n'empêcha pas que les stylos signassent (oui, signassent, je sais, ça sonne bizarre, mais le polar est bizarre) de nombreuses dédicaces…


L'essentiel étant que le compte soit bon, tout autant que les moules-frites du déjeuner ou les sauts d'obstacles des cavaliers.


Un grand merci aux organisateurs, Sébastien, Henri, Christiane, Ludovic, Cathy… ainsi qu'à toutes celles et ceux que nous n'aurons pas nommés.
Un grand merci itou aux lectrices et lecteurs, qui sont repartis avec Le Fantôme des Terreaux, Flinguer le Président, c'est mal !, Mercredeuils, Pique rouge, cœur noir ou Puisque chante la nuit, dans leurs besaces.


10 juin 2015

« in2white » : merveilleux panorama !

Les éditions AO ont édité plusieurs livres mettant en scène la montagne et l'alpinisme (voir cette page). D'où notre émerveillement en découvrant la vaste photo panoramique et ultra-détaillée publiée sur le site in2white. Mille mercis à ces photographes pour avoir mis en ligne ce projet fascinant, occasion de grands moments d'émotion et de contemplation !


L'intérêt de ce projet est de nous donner la possibilité de zoomer de façon extrême sur n'importe quel partie de la photographie, au point de pouvoir découvrir… des êtres humains dans le paysage. Mais attention : l'échelle des parois que l'on observe doit être rétablie ! Pas moins de 800 mètres pour le versant du mont Blanc du Tacul, par exemple (sommet rocheux légèrement à droite du centre).

Alors, bien sûr, nous nous sommes livré au jeu du repérage d'alpinistes. En voici une série – certainement incomplète. Pour connaître leur emplacement, laissez un commentaire sur cet article, nous serons heureux de vous les indiquer.


Ces trois premiers personnages progressent à raquettes ou à skis sur le glacier. Ils sont relativement aisés à découvrir, l'un étant proche des photographes, les autres signalés par leurs ombres.


Beaucoup plus loin, une autre cordée marche sur une section horizontale…

Passons aux alpinistes engagés dans des itinéraires d'ascension. Deux nous sont signalés par le site lui-même à titre d'exemple :


Mais ils ne sont pas les seuls sur cette paroi glaciaire (là, nous vous aidons). En voici six autres (dont un est caché dans une goulotte encaissée) :


Ailleurs, deux cordées se succèdent dans un itinéraire mixte (à droite, le second de cordée est également masqué derrière le rocher) :


Encore plus loin, sur un itinéraire fréquenté, il est plus aisé de retrouver des cordées :


Enfin, d'autres êtres humains sont repérables là où un téléphérique les a déposés :


…ou bien se préparant à travailler, comme ce grutier et ces ouvriers :


Si vous cherchez bien, du côté de la Noire de Peuterey, vous pourrez aussi identifier un oiseau. Il est signalé dans la démonstration du site.

D'autres alpinistes cachés ? Certainement. En attendant, vous pouvez aller observer les cordes fixes de la Dent du Géant, sans toutefois y découvrir des grappes humaines accrochées aux filins…