26 octobre 2025

Cécile Malhey-Dupart lauréate du Prix Lucien Perriaux

Le Centre beaunois d'études historiques (CBEH) décerne chaque année depuis 1985 plusieurs prix récompensant des ouvrages traitant de l'histoire locale (Prix Lucien Perriaux), de celle de la vigne et du vin (Prix Vergnette de Lamotte) ainsi que des projets réalisés par des établissements scolaires (Prix Pierre Joigneaux).

De gauche à droite : Carole Chateau (présidente du CBEH), Cécile Malhey-Dupart, Camille Ignart et Thomas Labbé.

Lors d'une cérémonie qui s'est tenue le samedi 25 octobre 2025 dans la salle de la Tour de la Porte Marie de Bourgogne, ces trois prix ont été décernés à leurs lauréats en présence du Maire, Alain Suguenot, de responsables du CBEH et d'un public de passionnés d'histoire locale :


De gauche à droite : Bernard Perriaux, petit-fils de Lucien Perriaux, Cécile Malhey-Dupart, Alain Suguenot (maire de Beaune) et Carole Chateau.

Nous remercions chaleureusement l'ensemble des dirigeants et membres du CBEH mentionnés ci-dessus, ainsi que Mathias Compagnon, vice-président et trésorier de l'association.

Les deux livres primés

Un nom dans un carnet de bal,
Cécile Malhey-Dupart, Esménie, 2025
162 pages, 13 x 20,5 cm, ISBN 9782958883928, 17 €

Bulles, L'histoire singulière du Crémant de Bourgogne,
Thomas Labbé, Guillaume Grillon et Thierry Gaudillère, Éditions de La Martinière
336 pages, 24 x 28 cm, ISBN 9791040122500, 45 €

09 octobre 2025

Vengeances tardives : à la rencontre d'un auteur caluirard, médiathèque Bernard-Pivot de Caluire

Parmi les actions de promotion des livres des Éditions AO, celle qui a été conçue spécialement pour la médiathèque Bernard-Pivot de Caluire a été remarquable à bien des égards.

Une mise en scène soignée

Avec le concours de comédiens professionnels (le groupe Camaïeu), une soirée de présentation des quatre romans d'Henry Carey, auteur aux Éditions AO depuis une douzaine d'années, a permis de les faire découvrir au public d'une façon originale, complète et non dénuée d'émotion. Nous remercions ici chaleureusement les responsables de la médiathèque de nous avoir reçus le 3 octobre dans leur très belle salle de conférence. Merci donc à Hélène Saleix, Sylvie Sadgui et Sylvain Deflache.


Vengeances tardives, à la rencontre d'un auteur caluirard : Henry Carey

Le thème de la soirée s'intitulait "Vengeances tardives", jeu de mots sur les bien connues "vendanges", la vengeance (vendetta en italien) étant le thème central de tous les romans d'Henry Carey.

Le groupe Camaïeu rassemble notamment la comédienne Françoise Gambey, le comédien Olivier Rougerie, sous la houlette de Gérard Guipont, qui a assuré la mise en place de l'événement.


La rencontre s'est déroulée selon les étapes suivantes :

  • Présentation des Éditions AO par leur gérant, Jean-Luc Tafforeau (rédacteur de ce blog)
  • Résumé "animé" de chacun de ses trois premiers romans sous forme d'un dialogue rapide entre les comédiens, suivi de la lecture d'un extrait.
  • Présentation plus approfondie de la nouveauté de la rentrée littéraire, Alumni, l'ultime vendetta, avec la lecture, cette fois, de sept extraits du roman.
  • Henry Carey a été alors invité à nous rejoindre sur scène pour une séance de questions-réponses émanant tant du public que des organisateurs.

Un exemple, la présentation de Chambres noires, nuits blanches, le deuxième roman de Henry Carey (2017) :



Jean-Luc Tafforeau (ci-contre) – En 2017, cinq ans après les six yaourts paraît ce deuxième roman de Henry. Le genre littéraire ? Toujours le suspense. Cette fois sous le signe de la dualité comme le suggère le titre. Un double récit pour un double suspense. La marque de fabrique d’Henry consiste à imaginer une construction particulière pour chaque roman. La contrainte de construction choisie par Henry pour celui-ci consiste à faire relater l’histoire successivement par deux narrateurs... Et nous voilà dans le drame le plus absolu. Mais avec des notes d’humour, cependant. Car l’auteur ne se prend pas au sérieux, pour notre plus grand plaisir. Un ton sarcastique, de l’humour noir ciselé !

Partie de "ping-pong" entre Françoise Gambey (FG) et Olivier Rougerie (OR)

FG – Une chambre d’hôpital…

OR – Blanche ? Oui, dans son aspect…

FG – Noire, plutôt… étant donné ce qu’elle cache.

OR – Olivier a subi un très grave accident de voiture.

FG – Il ne peut ni parler ni bouger… Mais il entend tout !

OR – Y compris le médecin qui organise déjà le don de ses organes après son décès !

FG – Sa femme, Aurore, est à son chevet, éplorée et toujours amoureuse

OR – Olivier nous raconte ce qu’il ressent, ses nombreuses interrogations

FG – Qu’en est-il vraiment ?

OR – Il faudra attendre la deuxième partie de ce double suspense pour en savoir plus…

FG – La même histoire… relatée d’un autre point de vue.

OR – Du point de vue de l’auteur du crime, cette fois

FG – Car c’est d’un crime qu’il s’agit !

OR – De quoi connaître des nuits blanches, vous en conviendrez

FG – Olivier, la victime, se remettra-t-il de ses blessures ? / de son accident ?

OR – Et si oui, prendra-t-il sa revanche ?

FG – Rien n’est moins sûr…

Extraits du prologue du roman

FG – On dirait que la vaste fumisterie que fut ma vie va bientôt se terminer. Enfin, c’est ce que sous-entend le carabin en s’adressant à ma femme, que j’entends sangloter en silence : « Comprenez-moi bien, madame. Nous avons fait tout ce qui était humainement et médicalement possible pour maintenir votre mari en vie. Aujourd’hui, je l’avoue, notre pronostic est qu’il n’y a plus d’espoir de réveil. […] Sincèrement, madame, la meilleure décision que vous puissiez prendre est de signer le  consentement afin de lui offrir une fin paisible et digne, accompagnée par une présence médicale constante. Vous serez à ses côtés à tout instant si vous le souhaitez. À propos, puisqu’il n’avait pas exprimé la volonté de donner ses organes, pouvez-vous nous accorder enfin votre autorisation ? Ils sont tous dans un état parfait et cela sauverait de nombreuses vies. »

OR – Il ne manque pas de toupet, le toubib. C’est légal ça ? Pour qui il se prend ? Non seulement il veut m’envoyer ad patres, sans tenir compte de l’avis du Grand architecte, mais, de surcroît, il insiste pour me découper et me refourguer en pièces détachées à différents clampins. Il a de la suite dans les idées, ce mec ! Heureusement, mon épouse reste digne. C’est une femme exceptionnelle. […]
Le silence devient pénible. L’autre est suspendu à la réponse de ma chère et tendre, il doit sûrement avoir la bouche ouverte, la lippe pendue et un sourire obséquieux. Je le soupçonne d’empoigner déjà la seringue avec la suspension létale dans sa poche, le fumier. 
Se doute-t-il, ce con, que depuis six mois que je suis là, allongé, inconscient, incapable de bouger, j’entends tout ce qui se dit autour de moi ?
Croyez-moi ! Parfois, cela vaut le détour.



08 octobre 2025

Les nouveautés de l'automne 2025



07 octobre 2025

Cœur bordélique, de Renaud Weiss : un livre qui se lit… et s'écoute !

Un livre qui non seulement se lit… mais peut aussi s'écouter !

C'est ce que nous propose Renaud Weiss, alias “Cœur bordélique”, dans ce petit livre rouge qui regroupe ses chansons auxquelles des QR Codes donnent accès aisément.

Les chansons sont complétées par des textes personnels sensibles et drôles insérés de façon à faire écho aux paroles qu'on vient de lire.

Éditions AO - André Odemard 2025
104 pages (dont 4 en couleur)
Format 11,7 x 18,5 cm
ISBN 978-2-38200-043-4

14 €

Plus de renseignements sur le site web des éditions AO à cette page.






01 avril 2025

Une faute d'orthographe dans notre Constitution ?

En lisant l'essai récent – et remarquable – de Benjamin Morel Le Nouveau régime (Passés / Composés), j'ai appris avec amusement que notre Constitution a comporté durant près de 60 ans une faute d'orthographe, qui plus est dans un article majeur, le fameux article 16.

L'article 16 expose les conditions, précises et multiples, autorisant le Président de la République à prendre les pleins pouvoirs. Les voici, la phrase commençant par "lorsque" :

  • Les institutions de la République
  • L'indépendance de la Nation
  • L'intégrité de son territoire
  • Ou l'exécution de ses engagements internationaux

…la phrase se poursuit par "sont menacés d'une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu…"

Or, si l'on observe l'énumération, on trouve 4 termes au féminin : institutions, indépendance, intégrité et exécution. Il aurait donc fallu écrire "sont menacées" au féminin.

En consultant le Journal Officiel du dimanche 5 octobre 1958 faisant état de la promulgation de la Constitution, l'accord au masculin apparaît bel et bien :


Mais ce n'est plus le cas aujourd'hui, car une modification du texte a été effectuée en juillet 2018. On remarque que cette modification ne s'apparente pas à une révision de la Constitution, juste à la rectification d'une erreur dite "matérielle" :


Le site du Conseil Constitutionnel a mis à jour l'orthographe :


…tandis que Légifrance garde la trace de l'erreur initiale en l'explicitant :


Ce billet de blog est publié le 1er avril 2025. Attention : il ne s'agit en aucun cas d'un "poisson d'avril", vous pouvez vérifier !

24 février 2025

Quelques couacs quoi qu'on en pense

Quoique je ne sois pas spécialement à l'affût lors de mes lectures récréatives, l'une des coquilles sur lesquelles je tombe très souvent porte sur la confusion entre "quoique", en un seul mot, et "quoi que", en deux mots, occasion d'autant de "couacs" orthographiques.

L'encadré ci-dessus est extrait d'un génial dictionnaire de l'orthographe et de l'expression écrite (Le Robert, épuisé depuis trop longtemps) dans lequel, quoi qu'il arrive, je trouve toujours la solution à mes hésitations.

De fait, "quoique" (conjonction) a un sens proche de "bien que", comme dans l'exemple, "quoique malade, il voyageait beaucoup", alors que "quoi que" signifie "quelle que soit la chose que", en particulier dans l'expression couramment employée, "Quoi qu'on en pense" (ou encore : quoi que nous en pensions).

S'ajoute à cette règle souvent oubliée la question de l'élision, autrement dit des apostrophes. Quoique (tout comme lorsque et quelques autres) gagne à ne pas être suivi d'apostrophes dans nombre de cas, pour faciliter la lecture. Les avis sont partagés, il n'y a pas de consensus absolu, mais je trouve, pour ma part, plus élégant de ne l'élider que devant il(s), elle(s), on, un et une (quoiqu'elle…), et de ne pas placer d'apostrophe avec d'autres mots, comme dans "quoique en danger" ou "quoique imbécile" par exemple…

Lors d'une discussion récentes avec des auteurs, ils m'ont signalé une autre coquille fréquente qui oppose les deux sens du mot "quelque(s)", selon qu'il est employé comme adjectif (indéfini) ou comme adverbe.

L'usage le plus courant est bien sûr "une petite quantité, un certain nombre de", et le mot est alors au pluriel, comme dans "quelques jours". Mais il existe un autre usage, bien commode pour éviter d'abuser des "environ" et autres "à peu près", qui est l'adverbe, et celui-ci est alors invariable.

Si vous écrivez "Villeurbanne compte quelque 160000 habitants", vous ne dites pas que la ville compte peu d'habitants ("quelques-uns") mais bien que le nombre est approximatif.

Enfin, le "quel que" abordé ensuite par le même dictionnaire nous renvoie au début de ce billet. "Quel que soit", tout comme "quoi qu'il en soit", s'écrivent bien avec des pronoms relatifs (deux pronoms considérés comme un seul).

14 février 2025

Festival Livres en m'Ain (Ambérieu-en-Bugey)

Dimanche 9 février 2025, les éditions AO participaient au Festival Livres en m'Ain (Ambérieu-en-Bugey), dont c'était la seconde édition. Il était organisé conjointement par l'Association des Editeurs Solidaires – dont les éditions AO sont l'un des adhérents –, la Municipalité d'Ambérieu-en-Bugey et la Communauté de Communes de la Plaine de l’Ain.

Une quinzaine d'éditeurs de l'Association étaient présents, ainsi que d'autres intervenants locaux.


Les éditions AO présentaient ce jour-là la collection des enquêtes lyonnaises du commissaire Séverac, de Jacques Morize, les romans noirs d'Henry Carey, en présence des deux auteurs (voir photo !), tandis que je me chargeais de la collection musicale de ma maison d'édition.

Nous avons été sensibles à l'intérêt manifesté par les nombreux festivaliers pour nos livres, en particulier leur fidélité au commissaire Séverac, plusieurs d'entre eux en ayant profité pour compléter leur collection.

Vous trouverez plus d'informations sur cette belle journée sur le site des Editeurs Solidaires, que les éditions AO remercient pour la qualité de l'organisation et de la logistique.

Jean-Luc Tafforeau, 14 février 2025


09 février 2025

HP9015e Une expérience désagréable

Partage d'expérience relatif à une imprimante HP OfficeJet Pro 9015e

(Imprimante achetée en janvier 2024)

Ce samedi 8 février 2025 au matin, l'imprimante fonctionnait normalement. En milieu d'après-midi, elle cessa soudain de fonctionner. Alors que les cartouches d'encre de type "compatible homologué" étaient encore opérationnelles auparavant, l'affichage sur le mini-écran de l'imprimante indiquait des cartouches non seulement vides, mais surtout non identifiées.

Impossible d'imprimer par conséquent. Tout au plus ai-je finalement obtenu les échantillons de couleurs imprimées (quelques carrés colorés sans autre information) d'apparence valide.

En observant l'appli HP dont je dispose sur mon iPhone, apparaissait une "mise à jour du micrologiciel".

Par malchance, mon jeu de cartouches de rechange n'était pas du bon modèle (une erreur du magasin qui me l'avait vendu), soit des 953 au lieu des 963. Je me suis précipité d'urgence audit magasin, achetant par précaution un jeu HP "de marque" en dépit du supplément de prix.

De retour, j'ai installé ces cartouches, et tout est rentré dans l'ordre.

Qu'en déduire ?

Je n'ai aucune certitude. Cependant, l'hypothèse principale serait que la mise à jour du "micrologiciel" a entraîné une invalidation des cartouches de marque compatible en place. Une autre hypothèse, voisine, serait que les cartouches installées aient une durée de vie limitée, l'installation datant de début août 2024, soit à peu près six mois auparavant…

La soudaineté de la panne indique en tout cas un manque d'égards de HP vis-à-vis de ses utilisateurs. Aucun message, aucune alerte n'a en effet indiqué qu'il fallait remplacer les cartouches. Seul cet affichage abrupt de cartouches vides inconnues s'est manifesté, difficile à interpréter correctement… En outre, les cartouches compatibles en place n'étaient pas épuisées, loin de là – je n'avais en effet vu aucun message relatif au niveau des cartouches, alors même que HP en use et abuse !

L'avis d'un responsable de magasin

Ayant pu discuter avec un responsable du magasin m'ayant fourni l'imprimante et l'encre, il m'a confirmé que HP profite des mises à jour du logiciel de ses imprimantes (à distance) pour invalider des cartouches compatibles, en particulier lorsque celles-ci sont relativement anciennes (quelques mois). Il faudrait, dans la mesure du possible, désactiver la mise à jour automatique dans les paramètres de l'imprimante pour éviter cet inconvénient.

Conclusions

Il semble donc confirmé que HP, mécontent de ne pouvoir imposer à ses clients l'usage exclusif de ses cartouches de marques (pour des raisons de législation), tente de contourner l'interdiction en jouant sur d'autres paramètres, comme la version et la date de fabrication des cartouches compatibles.

Sur le prix, je me suis aperçu qu'un jeu de 4 cartouches HP de marque coûtait à peu près le même prix que les compatibles, sauf que – nuance importante ! – les compatibles en question sont de contenance renforcée, dite "XL", et donc d'une durée d'utilisation plus longue puisqu'elles contiennent plus d'encre.

Pour être tout à fait juste, au-delà de cette "guéguerre de l'encre", cette imprimante HP fonctionne très bien – recto-verso, impressions parfois de plusieurs dizaines de pages, numérisation… – et que la consommation d'encre reste relativement modérée. Voici quels ont été mes chiffres les plus récents :

En 6 mois (août 2024-janvier 2025) j'ai imprimé quelque 3000 pages, dont 2000 en couleur avec un jeu de cartouches compatibles XL, sachant qu'elles ont été invalidées avant épuisement. 3000 pages pour 90€, le ratio serait de 3 centimes d'euro la page…

26 janvier 2025

Nos activités 2024… et nos vœux pour 2025

En ce début d'année 2025, les éditions AO vous adressent à toutes et tous leurs meilleurs vœux. Que cette année qui commence soit à la mesure de vos souhaits, voire de vos rêves, qui sait ?, toujours sous l'égide du livre, ce livre dont Paul Auster nous recommande de ne jamais oublier le pouvoir.

En 2024, les éditions AO ont poursuivi avec opiniâtreté et dynamisme la publication et la diffusion de leurs ouvrages, dans des registres et selon des modalités largement diversifiés. Pour la quatrième année consécutive, notre chiffre d'affaires de ventes de livres a atteint le même niveau – à quelques euros près – soit plus de 40000 € (voir ci-dessous).

Parmi nos nouveautés de 2024 ont figuré quatre romans policiers, signés de Jacques Morize ou Bernard Mouterde. Gare aux Brotteaux ! et L'Or du Maudit sont des textes inédits, tandis que Pas de corona pour Séverac ou L'Or du Paradis sont des rééditions dans une nouvelle présentation.

Trois livres ont été réalisés à la demande de leurs auteurs et / ou éditeurs, Frédéric Bonté pour son Lexique de cosmétologie pratique (éditions Tudelinov), Cécile Malhey-Dupart pour Des roseaux dans la tourmente (éditions Esménie) ou Sophie Latappy pour son roman Passé composé (éditions Premiers matins). 

Nous avons enfin poursuivi la promotion et la diffusion de C quoi ce blase ?, sous-titré des origines des noms des grands groupes de rock (27 sont examinés à la loupe par l'auteur, Jean-Étienne David), complétant ainsi notre collection consacrée à la musique pop-rock, riche d'une demi-douzaine de titres, dont la majorité consacrée aux Beatles.

Et nous voici au travail, encore et toujours, avec désormais l'aide efficace et dynamique des Passionnés de Bouquins pour la diffusion de notre série-phare, les enquêtes du commissaire Séverac (Jacques Morize), qui compte désormais douze volumes, dont un hors-série.


Le chiffre rond – ou presque – des 40000 € hors taxes a été atteint pour la quatrième fois consécutive en 2024. Les quantités en exemplaires évoluent différemment en raison de prix moyens de vente plus élevés, résultant essentiellement de leur format, mais aussi des ventes “en bloc” aux éditeurs tiers (voir plus haut).