Pour la quatrième année consécutive, les éditions AO étaient reçues par la librairie Le Bal des Ardents sur leur stand de cette Grande Librairie installée dans le Palais. Une attention louable à l'égard d'une maison d'édition comme la nôtre, ce dont nous remercions toute l'équipe, au premier rang de laquelle Elsa et Francis.
À l'occasion de cette onzième édition de “QDP” – sigle désormais consacré – trois auteurs AO ont rencontré un public toujours attentif et passionné. L'occasion d'échanges riches et chaleureux, qui donnent du cœur à l'ouvrage à toutes et à tous : auteurs, éditeurs, libraires…
QDP, What else ?
Cherchant un calembour sur le sigle QDP, la formule “Quoi De Plus ?” nous est venue. Elle pourrait être une traduction du “What else ?” de George (Clooney).
Quoi de plus, donc ?
Ci-dessus : François Boulay dans le feu de l'action.
Eh bien d'abord l'arrivée de François Boulay, prix Quais du Polar 2007, au catalogue des éditions AO, avec Pique rouge, Cœur noir, sorti en toute fin d'année 2014. François a assuré un vrai marathon de signatures durant ces trois journées.
Ensuite, l'accueil marquant du public au Fantôme des Terreaux, la troisième enquête du commissaire Séverac, que Jacques Morize a présenté dimanche, ainsi qu'au suspense À qui profite le kir®?, thriller aussi apéritif que roboratif (il fallait bien placer ce terme devenu “incontournable”…) de la plume de Gaël Dubreuil.
Ci-dessus : François Boulay (à gauche) et Gaël Dubreuil (à droite) en conversation avec des lecteurs.
Les visiteurs venus discuter avec François, Gaël et Jacques auront eu droit à de mémorables parties de ping-pong verbal entre auteurs de talent – tous des comédiens à leur façon (amateurs autant que professionnels).
Ci-dessus : le rire n'est jamais loin, même dans le polar !
Quoi d'autre encore ? Ah, c'est sûr, voisiner derrière ces tables tendues de noir avec Michael Connelly, voilà qui donne la pêche, vous en conviendrez.
Ci-dessus : Michael Connelly (à droite) et son riding shotgun (à gauche). Il faut avoir lu Ceux qui tombent (que l'auteur tient en main) pour saisir l'allusion…
Quoi d'autre enfin ? La logistique. Vous n'imaginez probablement pas combien tous ces livres circulent, circulent… Une noria de camions alimentait le festival pour fournir, tandis que l'auteur de ces lignes faisait des allers-retours en métro (chacun son mode de livraison) pour recharger la table.
Un chassé-croisé entre auteurs, libraires, caisses de carton et caisse comptable accomplissait un ballet souvent inattendu.